Les
lauréats 2023

Essai

Serge Gruzinski

Les quatre parties du monde : Histoire d’une mondialisation

Traduit par Li Zheng

Oriental Press

Littérature

J.M.G. Le Clézio

Alma

Traduit par Zhang Lu

People’s Literature Publishing House / Shanghai 99 Readers Culture

Jeune pousse

Romain Monnery

Libre, seul et assoupi

Traduit par Lyu Junjun

CITIC Press Corporation - Nov+

Essai

Serge Gruzinski

Les quatre parties du monde : Histoire d’une mondialisation

Traduit par Li Zheng

Oriental Press

Littérature

J.M.G. Le Clézio

Alma

Traduit par Zhang Lu

People’s Literature Publishing House / Shanghai 99 Readers Culture

Jeune pousse

Romain Monnery

Libre, seul et assoupi

Traduit par Lyu Junjun

CITIC Press Corporation - Nov+

Le Prix Fu Lei

Prix de la traduction et de l'édition

Créé en 2009 à l’initiative de l’Ambassade de France en Chine avec des intellectuels chinois francophones représentés par le professeur Dong Qiang, le Prix Fu Lei a pour objectif de promouvoir l’importance de la traduction et de la diffusion des ouvrages francophones en Chine. Ce Prix doit son nom au grand traducteur chinois Fu Lei (1908-1966), qui a rendu accessibles aux lecteurs chinois les œuvres de Balzac, Voltaire ou encore Romain Rolland.
Chaque année, le Prix Fu Lei récompense les deux meilleures traductions du français vers le mandarin publiées en Chine…

Le Prix Fu Lei en Vidéo

Revivez la dernière édition en images

Prix Fu Lei 2023

Réunion du jury & Première sélection

Prix Fu Lei 2023

Conférence de presse à Pékin

Le Prix Fu Lei soutenu par deux lauréats du prix Nobel de littérature

« À mes yeux, le Prix Fu Lei est très important. Le travail des traducteurs est précieux. Sans eux, nous serions comme des aveugles ou des sourds, et sans l’échange interculturel, nous ne connaîtrions que notre propre village ou notre propre ville. »

JMG Le Clézio

« Les traducteurs jouent un rôle important. Sans le travail créatif des traducteurs de différents pays, je n’aurais pas pu obtenir le Prix Nobel. Parfois, la traduction est encore plus difficile que l’écriture. »

Mo Yan